Un travaille fini.

Ont avait appelé John le matin même pour lui donner un travaille. John avait été voir la personne concerner pour qu'il le paye avant qu'il ne fasse la salle tache. Ensuite ont lui avait dit de tuer quelqu'un habiller en noir qui ce trouverait derrière le bar. Il ramassa ses armes et pris sont temps pendant la journée. Elle était grise et salle, la boucane des cigarettes et des voitures étais aux rendez-vous. Pour rajouter à tout sa, il avait commencé à pleuvoir pendant le début de l'après midi. Il c'étais allumer une cigarette et sur le bort de la route toute en marchant il la fumait. Des graffiti ornaient les grandes mures et des magots de cigarettes ornaient le sol. Quelque personne ne passait proche de lui mais avec sa carabine à la vue il n’osait pas ce rapproché trop. John arrivas enfin devant le bar, il regarda ici et là pour voir si l'homme y étais mais il n'y avait personne. En ce remémorant un peut la conversation il ce rappelas qu'il devait ce trouver derrière le bâtiment, alors sans plus attendre, il le contourna pour y arriver. Il vit l'homme en question entrain de boire une bière. John ce rapprochas de lui et avec une main il le pointa et avec l'autre il prit une bouffer dans sa cigarette avant de dire.

- Désoler mais s'en'é fini pour toi.

Après ses mots, il eu un grand bruit sonore. Il avait tiré et il l'eu en plein dans la tête. Le gars en question tombas sur le sol et sa bière ce renversa, dommage de ne pas l'avoir sauvé. John rechangeas puis la remis sur sont épaule. Il jeta sa cigarette sur le sol puis l'écrasa avant de ce retourné. Quand il ce retournas il vit qu'il y avait quelqu'un, mais qui est-ce que ses celui la. Avait t'il assister à toute la scène ou il venait tout juste d'arriver?

Je partais de chez moi, du manoir de la mafia pour allé relaxer au bar, me détendre car j'avais une sale journer, il fallu que j'aille tuer une personne a une heure précise mais là, comme par hasard elle ne se montra point et il fallu que j'aille la chercher moi-même à la place que lui tirer une balle de sniper dans la tête. Puis, en revenant chez moi, mon tuteur m'a apprit une très triste nouvelle, pour moi, mais toi tu t'en fou car, c'est mes deux parents qui on été tué dans une fusillade dans la grande ville, je les aiment quand même, même s'il m'ont jeté à la porte car c'est de ma faute, je le reconnais. Alors, je me rend au bar car je sais que je dois me détendre car aussi-non ça risque de n e pas vraiment bien allé. Alors, je me rend au bar a pied, dans la brume et en plus il pleut mais moi, je m'en fou d'être mouillé, de toute façon, je ne suis pas fais en chocolat. Rendu dans le bar, je m'asseois au contoir et je commande une bonne bière. Je la bois sans expression dans mon visage en regardant les belle femme qui se frote sur un poteau. Je les regarde et je savoure se moment de tendresse car je suis vraiment en colère envers les gens qui on tué mes parents, il y a une chose que j'ai le gout de faire, les massacrer, les torturer, pour leurs faire voir la souffrance qu'il m'ont fais subir. Alors que je sirotais ma bière, ju'entendis un coup de feu. Je dis donc à la barman :

Je m'en occupe, ne t'en fais pas.

LAors, à ses mots, je pris une dernière gorger de bière puis je partis pour voir en arrière du bar. Ce que j'y vis étais qu'un simple homme qui devais surement puis, il se retourna vers moi et me regarda d'un façon prèt a me tirer moi aussi, alors je lui dis donc :

Bonjour... je ne veux pas vraiment te tirer, je veux juste, je ne sais même pas se que je veux, je suis juste curieu, j'ai entendu le coup de feu du bar, alors pour rassurer la barman, je lui est dis que j'irais voir ce qui ce passais. Alors, belle journée pour pour toi même s'il ne fais pas beau comme température? Juste comme ça, je me nomme Cell, Slinter Cell, et toi?

Je dis tous ses mots dans le plus calme de moi-même, car je ne suis pas souvant nerveu d'une situation de se genre car j'en ai vécu plusieurs auparanvant. Puis j'attendais qu'il me dise quelque chose, je n'avais pas tellement peur qu'i8l me tue car je n'avais plus vraiment d'émotion et j'étais vraiment a l'aise.

Après que l'étranger est placoter un peut puis ce suit présenter, John sortie son paquet de cigarette. Il en sortie une puis rangeas le paquet. Après l'avoir allumé et pris une bonne bouffer, il accota sont arme sur sont épaule comme il avait l'habitude de le faire. Il n'avait pas envie de placoter ici et il n'avait pas de temps à perdre avec cette personne. Il devait ce rendre à un autre place dans pas très longtemps. Il fut quand même assez surpris car Splinter n'avait pas fait attention au meurtre. Mais tout de même, John ne devait pas laisser le corps ici. Il avait pensée aller l'enterrer au cimetière car de ce temps si il n'y avait pas trop de monde. Il le regarda quelque instant avant de lui dire avec sont accent anglais d'Amérique.

- J'm'apelle Killer, tà juste tà te souvenir de s'nom là.

Il pris quelque autre respiration dans sa cigarette tout en le regardant comme si il l'examinait. Sa ressemblait trop à quelqu'un de la police mais elle n'avait aucun droit ici et aucune n'à pus l'attraper.

Ouais, ok je vais te laisser car tu a surement besoin que je te laisse parceque tu dois surement te débarasser de se corps un peu enconbrant...Alors, moi je vais te laissé, j'ai quelque petite chose a faire aujourd'hui...

Je dis donc ses mots en me reculant, près a partir un peu en attendant sa réponse et il dis :

C'correct

Alors, je partis en marchant, j'alla voir la barman pour lui dire que tout étais beau, je lui donna un bon pourboire pour la biere, je sortis du bar pour aller sauter dans ma belle mustang. Alors, je commenca par conduire prudament car il y avais beaucoup de monde et plusieur char dans la rue. Quand se fut beaucoup plus dégager, je commenca a mettre le pied sur le chanpignon. Je me dirigeais vers chez moi, la maison de la mafia pour aller prendre une boucher avec mon pere, Tony. Puis, apres avoir manger mon bon sandwish, je me remis dans ma voiture pour maitenent aller au cimetier, pour aller pleurer le bon dieu de m'avoir enlever mes parent. Alors, je rentra dans le cimetier a une vitesse folle mais non dangereur, il n'y avais personne et les pierre tomballe, il n'y en avais pas dans le milieu. Quand j'arriva proche de celle de mes parents, je ralentis, tourna a gauche, je me stoppa juste a la droite de leurs tombes et je m'assis la, pour pleuré et leur raconter ma vie comme a chaque dimanche.